Rendre son village plus propre et conscientiser les générations actuelles et futures à la malpropreté.

Ce sont deux objectifs remplis par l’unité scoute et guide de Beaufays qui a participé, fin septembre, au Grand Nettoyage de Printemps sous le label Wallonie Plus Propre.
Des centaines d’enfants et adolescents, vêtus de masques, gilets fluorescents et gants de protection, ont retroussé leurs manches et arpenté les rues de Beaufays pour y ramasser les détritus. Pour les plus petits, divisés en groupes restreints, l’objectif allait bien au-delà d’une mobilisation citoyenne, d’un engagement commun, d’un acte civique. Ils ont compris qu’ils avaient tous un rôle à jouer, qu’ils ne devaient plus jeter leurs déchets dans la cour de récré et qu’il était opportun de réprimander papa et maman s’ils jetaient une ordure par la fenêtre de la voiture. Mais le but ultime était plus grand encore : être l’équipe qui ramènerait le plus de sacs poubelle pleins pour remporter le code secret qui leur permettrait d’ouvrir le coffre au trésor, une malle remplie de bonbons !
« Je trouve que c’est une belle action pour la planète », témoigne Elena, lutin. « Il faut aussi arrêter de jeter des choses qui peuvent encore servir. On a trouvé des chaussettes, par exemple. Et puis il y a des déchets qui vont au milieu des routes. En plus de polluer, c’est dangereux ! »

Les plus grands, répartis par groupe de dix, carte routière à la main, devaient développer leur sens de l’orientation pour se rendre à la zone qui leur avait été attribuée avant d’y ramasser jusqu’au moindre mégot, conscients qu’un seul d’entre eux pollue jusqu’à 500 litres d’eau.

Le trophée du déchet le plus insolite a été remporté à égalité par les guides, fortes de leur aspirateur, et la ronde A, fière de son imprimante.

Ce sont finalement 121 kg de détritus qui ont été ramassés par l’unité scoute et guide de Beaufays.

Si on ne peut que se réjouir de cette initiative citoyenne et les féliciter, il ne faut pas oublier que la propreté n’est ni une fatalité ni l’affaire de la commune, mais qu’elle nous concerne tous !

Rendre son village plus propre et conscientiser les générations actuelles et futures à la malpropreté.

Ce sont deux objectifs remplis par l’unité scoute et guide de Beaufays qui a participé, fin septembre, au Grand Nettoyage de Printemps sous le label Wallonie Plus Propre.
Des centaines d’enfants et adolescents, vêtus de masques, gilets fluorescents et gants de protection, ont retroussé leurs manches et arpenté les rues de Beaufays pour y ramasser les détritus.

Pour les plus petits, divisés en groupes restreints, l’objectif allait bien au-delà d’une mobilisation citoyenne, d’un engagement commun, d’un acte civique. Ils ont compris qu’ils avaient tous un rôle à jouer, qu’ils ne devaient plus jeter leurs déchets dans la cour de récré et qu’il était opportun de réprimander papa et maman s’ils jetaient une ordure par la fenêtre de la voiture. Mais le but ultime était plus grand encore : être l’équipe qui ramènerait le plus de sacs poubelle pleins pour remporter le code secret qui leur permettrait d’ouvrir le coffre au trésor, une malle remplie de bonbons !
« Je trouve que c’est une belle action pour la planète », témoigne Elena, lutin. « Il faut aussi arrêter de jeter des choses qui peuvent encore servir. On a trouvé des chaussettes, par exemple. Et puis il y a des déchets qui vont au milieu des routes. En plus de polluer, c’est dangereux ! »

Les plus grands, répartis par groupe de dix, carte routière à la main, devaient développer leur sens de l’orientation pour se rendre à la zone qui leur avait été attribuée avant d’y ramasser jusqu’au moindre mégot, conscients qu’un seul d’entre eux pollue jusqu’à 500 litres d’eau.

Le trophée du déchet le plus insolite a été remporté à égalité par les guides, fortes de leur aspirateur, et la ronde A, fière de son imprimante.

Ce sont finalement 121 kg de détritus qui ont été ramassés par l’unité scoute et guide de Beaufays.

Si on ne peut que se réjouir de cette initiative citoyenne et les féliciter, il ne faut pas oublier que la propreté n’est ni une fatalité ni l’affaire de la commune, mais qu’elle nous concerne tous !